Témoigniac Christine PEDDITZI - 04.06.2015
Christine accompagne des associations, TPE et PME socialement innovantes en matière commerciale et marketing, avec une vraie joie de développer ces structures sur le long terme.
- Quelle est votre activité professionnelle aujourd’hui ?
Je suis accompagnatrice au développement marketing et commercial des structures associatives, ainsi que pour des TPE/PME, afin de les aider à être plus rentables. Cela passe par un diagnostic de marché, une analyse des forces et des faiblesses et une élaboration d’une stratégie et de plans d’action de développement ou de diversification. Je travaille beaucoup avec des Esat et des associations, notamment via le DLA (dispositif local d’accompagnement), des financements par la formation professionnelle et des aides régionales du conseil régional. Je suis référencée à la CCI et à la Chambre des Métiers de Marseille. Je donne également des conférences sur le développement d’entreprise dans de nombreux réseaux associatifs et professionnels.
J’ai toujours été dans des métiers de commerce et de management. Mais j’en ai eu assez des nombreux déplacements et de la pression concomitante. Voilà ce qui m’a amené à devenir consultante. Je suis aussi très active dans de nombreuses associations, ainsi que dans une couveuse.
Ce que j’aime le plus ?
- Transmettre et donner du sens à mes compétences ;
- Redonner confiance aux gens pour les sortir de situations parfois difficiles et ainsi pouvoir créer des changements positifs avec des actions concrètes.
2. GNIAC et vous…racontez-nous votre histoire ?
J’ai découvert GNIAC via un article de presse. J’y retrouve des gens qui ont envie de bouger dans le bon sens, qui ont la gniaque, avec la même vision que moi. Je peux apporter au réseau mon regard sur le développement économique et l’ESS. J’attends des échanges, du concret, du partage et surtout des outils pour faire vivre Gniac sur Marseille !
3. Des idées, conseils, engagements, motivations à partager ?
Je suis toujours surprise par l’envie des gens que je rencontre de se remettre en question, et parfois de repartir de zéro.
Le principal frein à l’innovation sociale est le cloisonnement et le manque de médiatisation / reconnaissance de l’ESS, qui est un secteur où les gens ont tendance à rester entre soi.
Mots clés : Christine Pedditzi / Marketing / Commercial / développement / ESS